Questionnaire permettant de valider un mémoire de fin d’étude en ostéopathie, intitulée : « L’effet d’une prise en charge ostéopathique sur la vessie neurologique d’une patiente paraplégique » :
Une cordée… C’est un groupe de personnes qui discute par un échange de courrier ou sur un forum, sur une thématique de leur choix.
Cette étude est réalisée dans le cadre de mon Master 1 de Psychologie Clinique de la Santé (Université de Bordeaux) et est encadrée par une Maître de Conférence en psychologie de la santé. D’un point de vue théorique, cette étude a pour objectif de mieux comprendre les processus d’ajustement à la blessure médullaire. D’un point de vue clinique, elle a pour objectif d’améliorer et d’optimiser la prise en charge psychologique d’une personne confrontée à une atteinte médullaire.
Pour remplir ce questionnaire vous devez :
être majeur (+ 18 ans)
être confronté à une blessure médullaire (paraplégie ou tétraplégie) acquise, c’est-à-dire non congénitale
savoir lire et comprendre le français et ne pas présenter de déficiences entravant la compréhension des questions
confirmer votre consentement à l’étude ci-dessous
Le questionnaire.
Il s’agit un témoignage, l’auteur, paraplégique à la suite d’un accident de la route, raconte les complexités de son quotidien. Elle témoigne fréquemment dans des établissements scolaires sur la question de la violence routière.
Ouvrage de Chantal Robert, Fortuna Éditions, juin 2011, 171 pages.
Vidéo (France 3 Picardie) sur le site Fortuna Editions - Durée : 7’56"
Article sur le livre dans Faire Face le mensuel de l’APF
En quatrième de couverture :
« Le 13 mai 1998, Chantal circule à moto. Une automobiliste grille un feu rouge, croise sa route, et la percute de plein fouet. S’en suivent onze jours de coma, dix-sept opérations et une année d’hospitalisation.
Chantal ne se relèvera pas.
Diagnostic : Paraplégie.
Brisée intérieurement, sa vie extérieure va sombrer : elle est obligée d’arrêter sa carrière dans l’enseignement, tire un trait sur sa passion du sport.
Entre s’effondrer et se battre, elle a choisi. Elle « s’attaque » a sa propre histoire.
Entre autobiographie et pamphlet, elle écrit ce témoignage en pensant que ça ferait office d’une thérapie. Elle a surtout écrit pour les autres.
Le propos est poignant, les mots crus. Clouée sur son fauteuil, la rage au cœur, elle évoque cette haine vouée à sa meurtrière, l’automobiliste responsable. Des confidences d’une intensité exceptionnelle sur cette épreuve, avec de l’humour et quelques joies qui parsèment heureusement son quotidien difficilement acceptable pour le commun des mortels. »