Questionnaire permettant de valider un mémoire de fin d’étude en ostéopathie, intitulée : « L’effet d’une prise en charge ostéopathique sur la vessie neurologique d’une patiente paraplégique » :
Une cordée… C’est un groupe de personnes qui discute par un échange de courrier ou sur un forum, sur une thématique de leur choix.
Cette étude est réalisée dans le cadre de mon Master 1 de Psychologie Clinique de la Santé (Université de Bordeaux) et est encadrée par une Maître de Conférence en psychologie de la santé. D’un point de vue théorique, cette étude a pour objectif de mieux comprendre les processus d’ajustement à la blessure médullaire. D’un point de vue clinique, elle a pour objectif d’améliorer et d’optimiser la prise en charge psychologique d’une personne confrontée à une atteinte médullaire.
Pour remplir ce questionnaire vous devez :
être majeur (+ 18 ans)
être confronté à une blessure médullaire (paraplégie ou tétraplégie) acquise, c’est-à-dire non congénitale
savoir lire et comprendre le français et ne pas présenter de déficiences entravant la compréhension des questions
confirmer votre consentement à l’étude ci-dessous
Le questionnaire.
Impact des modalités de prise en charge initiale sur la présence d’escarres au long cours chez le blessé médullaire tétraplégique
Espagnacq M. (Irdes), Lefort M. (CHU de Nantes, EHESP), Ravaud J.-F. (Inserm, IFRH)
à la CPAM - Salle Bagatelle - 21 rue Georges Auric - 75019 Paris
Source : Institut de recherche et documentation en économie de la santé. www.irdes.fr
L’escarre du blessé de la moelle épinière constitue une conséquence secondaire fréquente et sévère sur un plan médical et social. L’objectif de ce travail est d’identifier les facteurs de risque - cliniques, individuels ou sociaux - à long terme de développement d’escarres chez des personnes tétraplégiques post-traumatiques (TSCIt). Cette analyse a été réalisée à partir de la cohorte « Tétrafigap », initiée en 1995 et réinterrogée en 2006, composée de 1 641 blessés médullaires tétraplégiques. La proportion d’escarres a été étudiée à divers moments du parcours de soins des TSCIt et rattachée aux situations médicales et sociales. Cette étude à long terme montre que près des trois quarts des TSCIt ont développé une escarre à au moins une période de leur histoire post-traumatique. Quatre facteurs ont un effet significatif sur la présence d’escarres au long cours. Deux ont un effet protecteur, l’atteinte motrice incomplète et la marche. Inversement, le développement d’une escarre à la phase post-traumatique initiale et un réseau social faible augmentent le risque d’escarres, y compris à long terme.